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Richey Reneberg
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Sabalenka, une vainqueure sonnée : “Je suis sur le point de pleurer” Aryna Sabalenka s’en est sortie. Pour son premier match sur ocre de la saison, la numéro 2 mondiale a souffert. Opposé à son amie de toujours, Paula Badosa, la Biélorusse n’est pas passé loin de la sortie. Au final, elle a profité de l’abandon de l’Espagnole en milieu de dernière manche (7-6, 4-6, 3-3 ab.). Qualifiée pour le prochain tour, la championne du dernier Open d’Australie a surtout semblé affectée par l’issue de la rencontre. Après avoir vu son amie (Badosa) exploser en pleurs dans ses bras (voir vidéo), Sabalenka n’a pas caché son propre désarroi : “ Pour être honnête, je suis sur le point de pleurer. Je me sens tellement mal pour elle. J’aime cette fille. Je n’ai aucune émotion en ce moment. Je ne suis pas heureuse. Je ne suis pas triste. Je veux juste dire merci aux gens qui sont restés jusqu’à la fin. Merci beaucoup…”
En pleurs, Badosa abandonne encore C’était le choc de la journée de mercredi à Stuttgart. Ce deuxième tour entre Aryna Sabalenka et Paula Badosa avait de quoi intriguer les spécialistes. D’un côté, Sabalenka, numéro 2 mondiale, championne sortante de l’Open d’Australie et finaliste des trois dernières éditions du tournoi allemand. De l’autre, Paula Badosa, la prodige espagnole, ex numéro 2 mondiale (aujourd’hui 93e) qui peine à revenir en raison de multiples blessures. On peut aussi préciser qu’il s’agissait d’un match entre deux joueuses très proches, meilleures amies dans la vie. En bref, tout était réuni pour assister à un grand match. Ainsi, pendant un peu plus de 2h, c’est bien ce que l’on a vu. Les deux amies se sont rendues coup pour coup sur un Centre Court survolté. Après un premier set de haute volée remporté par la Biélorusse (7-6), l’Espagnole a immédiatement riposté en s’adjugeant le second acte (6-4). Retrouvant le tennis qui l’avait amené jusqu’au top 3 mondial, Badosa semblait se diriger tout droit vers une victoire majeure. Breakant rapidement, elle allait se détacher (3-1). Malheureusement pour elle, son physique l’a rattrapé et l’Espagnole a été contrainte d’abandonner (à 3-3 dans le dernier set). A l’issue de la rencontre, Paula Badosa n’a pu cacher son désarroi, éclatant en pleurs dans les bras de son adversaire et amie. Il s’agit déjà du troisième abandon de l’espagnole en 2024. Une question se pose : a-t-elle le physique pour tenir la cadence du haut niveau ?
En spécialiste de l’ocre, Ruud analyse la qualité de la surface à Barcelone : “La terre battue est un peu différente ici” Casper Ruud retrouve son statut de valeur sûre du circuit. Après une saison 2022 aussi impressionnante que bluffante (50 victoires, 3 titres, 2 finales en Grand Chelem, 1 finale au Masters), le Norvégien n’avait pas réussi à enchaîner. Malgré une finale à Roland-Garros, il avait moins convaincu. Cette année, Casper Ruud est reparti sur d’excellentes bases. Finaliste à Los Cabos, à Acapulco et surtout à Monte-Carlo, le Norvégien impressionne. Son classement ATP le montre bien. 12e mondial à la fin du mois de février, il est désormais 6e. Mieux encore, le double-finaliste de Roland-Garros est classé 4e à la race (classement calculé sur les résultats de la saison en cours et comptant pour la qualification au Masters). Vainqueur sans briller d’Alexandre Muller lors de son entrée en lice à Barcelone (6-3, 6-4), Ruud s’est dit satisfait. Interrogé par la presse sur son adaptation à la terre Catalane, le numéro 6 mondial s’est montré élogieux : “La terre battue est un peu différente ici à Barcelone. C’est une très bonne terre battue. Il n’y a rien à redire. Mais elle est un peu plus vivante, un peu plus sèche, plus rebondissante… quand il s’agit de terre battue, il n’y a pas beaucoup de différences, mais on peut les sentir ici et là. [...] C’est toujours difficile de remettre les compteurs à zéro et de se préparer pour un nouveau tournoi. Je suis très heureux d’avoir gagné.” En huitième de finale, Casper Ruud défiera Jordan Thompson, 33e mondial.
Vainqueur, De Minaur rend hommage à Nadal : “Le résultat aurait été complètement différent” Alex De Minaur, numéro 11 mondial, connaît sa meilleure saison en carrière. Déjà tombeur de sept membres du top 15 mondial depuis janvier, l'Australien joue beaucoup et gagne beaucoup (23 victoires en 29 matchs). Porté par un tennis de grande qualité, le natif de Sydney est l’un des hommes en forme de l’année. Vainqueur d’un Rafael Nadal en rodage (7-5, 6-1), Alex De Minaur s’est surtout réjoui de ne pas avoir affronté l’Espagnol quelques années plus tôt : “Je suis très, très heureux de ne pas avoir eu à jouer contre Rafa sur terre battue quelques années plus tôt. Le résultat aurait été complètement différent !”  Sans faire offense au numéro 11 mondial, il a probablement raison.
Pour sa tournée d’adieu, Nadal mise tout sur Roland-Garros : “S’il y a un tournoi qui vaut le peine de tout donner et de mourir, c’est Paris” Rafael Nadal dispute vraisemblablement sa dernière saison professionnelle. Ce qui signifie qu’il va, normalement, disputer son dernier Roland-Garros en mai. Le monde du tennis est déjà en émoi et les larmes risquent de couler Porte d’Auteuil. Interrogé sur les échéances à venir, Rafa semble surmotivé et veut tout donner : “Je pars convaincu que j'ai fait un pas en avant (à Barcelone), ce n'est pas aujourd'hui que je devais être bien, que je devais tout donner et mourir pour cela. Je dois me donner la possibilité de le faire dans quelques semaines, au moins d'essayer. [...] Je dois donc jouer en fonction de l'objectif que je me suis fixé. Je dois mesurer ce que je ressens, et je jouerai donc à Madrid en fonction de ce facteur. Si mon corps répond et que j'accumule de bons entraînements, je pourrai faire un pas en avant à Madrid. [...] D'un point de vue logique, l'idée est de progresser, mais je ne parle pas de gagner des matches, plutôt de lutter pour les choses. À Madrid, faire un peu mieux, à Rome un peu plus... et à Paris, faire ce que Dieu veut. C'est le moment d'essayer. S’il y a un tournoi qui vaut la peine de tout donner et de mourir, c’est Paris.”
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